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Ce mercredi 2 décembre, une manifestation à eu lieu dans les rues de nantes, voici un "compte rendu" rédigé par le célèbre "20minutes" :
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La manif lycéenne dégénère
Créé le 02.12.09 à 05h07
Près de 300 lycéens ont manifesté, hier matin, dans les rues de Nantes pour dénoncer les « attaques du gouvernement contre l'Education » (réforme des lycées, suppressions de postes, sureffectifs en classe, etc.).
Le cortège, qui souhaitait mobiliser davantage de lycéens, a tenté de s'introduire dans plusieurs lycées, dégradant au passage un portail à Jules-Verne, une vitre à Gabriel-Guist'hau, ainsi que quelques rétroviseurs de particuliers. Les forces de l'ordre sont intervenues.
Dix jeunes ont été interpellés. « Ces débordements sont le fait d'une petite minorité que nous n'avons pas réussi à gérer. Ils ne justifiaient pas, toutefois, l'intervention violente des CRS », regrette un des organisateurs lycéens. « On ne peut admettre qu'une minorité cherche à imposer sa loi par tous les moyens. Il importe que le débat démocratique continue de se dérouler dans la sérénité », condamne le recteur d'académie. Une nouvelle manifestation est prévue demain, à 14 h 30, place Bretagne. W
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Un résumé plutôt banal non? Une mannifestation qui donne lieu à des dégradations matérielles d'une minorité de jeunes, et les regrets des organisateurs.
Il nous faudrait trouver un moyen pour que les mannifestations fassent parler d'eux-même dans ce qu'elles revendiquent plutôt que les actions dont les minorités agressives sont les auteurs!
Solution?...
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La manif lycéenne dégénère
Créé le 02.12.09 à 05h07
Près de 300 lycéens ont manifesté, hier matin, dans les rues de Nantes pour dénoncer les « attaques du gouvernement contre l'Education » (réforme des lycées, suppressions de postes, sureffectifs en classe, etc.).
Le cortège, qui souhaitait mobiliser davantage de lycéens, a tenté de s'introduire dans plusieurs lycées, dégradant au passage un portail à Jules-Verne, une vitre à Gabriel-Guist'hau, ainsi que quelques rétroviseurs de particuliers. Les forces de l'ordre sont intervenues.
Dix jeunes ont été interpellés. « Ces débordements sont le fait d'une petite minorité que nous n'avons pas réussi à gérer. Ils ne justifiaient pas, toutefois, l'intervention violente des CRS », regrette un des organisateurs lycéens. « On ne peut admettre qu'une minorité cherche à imposer sa loi par tous les moyens. Il importe que le débat démocratique continue de se dérouler dans la sérénité », condamne le recteur d'académie. Une nouvelle manifestation est prévue demain, à 14 h 30, place Bretagne. W
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Un résumé plutôt banal non? Une mannifestation qui donne lieu à des dégradations matérielles d'une minorité de jeunes, et les regrets des organisateurs.
Il nous faudrait trouver un moyen pour que les mannifestations fassent parler d'eux-même dans ce qu'elles revendiquent plutôt que les actions dont les minorités agressives sont les auteurs!
Solution?...
